mercredi 4 juillet 2007

Mon nouveau travail...

On ne peut pas dire que ce soit un coup de foudre... Je pense même plutôt qu'il va me falloir un certain temps pour m'adapter à ce nouveau milieu...

D'abord, le transport. Actuellement, je suis loin, très loin. Par exemple, ce soir, j'ai mis deux heures pour rentrer. Sachant que c'est une donnée temporaire le temps de trouver un appartement; ça peut toujours aller.

Ensuite, les horaires. Je comprends le concept d'arriver tard et de partir tard, mais quand j'ai su qu'il y avait une compétition à savoir qui repartirait le plus tard le soir, ça m'a turné off ben raide. Déjà, dans ma culture de Montréal, travailler jusqu'à 18:30, c'est quand même une bonne journée... Considérant que je suis arrivée au boulot à 8:15 ce matin... Enfin, si on ajoute les deux heures de transport du retour, ça fait une grosse journée...

Et pour terminer, l'ambiance... J'ai compris que le patron est roi et qu'on peut rien ajouter. Je n'avais pas vécu ça encore...

Ceci dit, je vais faire des gros efforts pour apprivoiser ce nouveau milieu professionnel. Je ne veux pas faire la compétition de qui va rester le plus tard; je vais faire celle de qui va arriver le plus tôt... Je vais prendre cette nouvelle expérience un jour à la fois. Sans doute je vais apprendre beaucoup quand même!

Je sais, ce n'est pas trop positif comme article, premier coup de bade...
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2 commentaires:

  1. la compétition du "plus tard possible" est le problème dans certaines boites françaises. Heureusement ce n'est pas le cas de la mienne.
    Courage, déjà si tu enlèves le transport rapidement, cela sera plus gérable.

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  2. Hélas Martine, faut pas s'attendre à retrouver le même genre de climat au travail ici que chez nous.

    La hiéarchie est très présente et bon: je te souhaites de t'y faire autant que tu peut pour le reste c'est à eux de se rappeler que tu es Québécoise na!

    Moi j'ai la chance de travailler avec des gens versatiles et y a pas de compétitions, quoique y en avait à mon arrivée au début mais bon... ces gens ne font plus partie de ma boîte.

    Mon patron adore rigoler et j'avoue qu'on se paie des trips de jeux de mots et de fous rires vraiment plaisants!

    Allez: bon courage!

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